• Portrait
    • Champs d’activité
    • Qualité
    • Statuts
    • Le comité
    • Groupes régionaux
    • Devenir membre
  • Politique de santé
    • Libre choix du médecin
  • Exercice de profession
    • Assurances complémentaires
    • Séminaire tarifaire
    • Partenariats
    • Prévoyance
  • Conrat complémentaire
  • Swiss DRG
    • Cliniques
    • Oeuvre de référence tarifaire SwissDRG de l’ASMI actuel
    • Oeuvre de référence tarifaire SwissDRG de l’ASMI – archive
  • Sites de formation continue
    • Chirurgie de la main
    • Chirurgie
    • Gynécologie et obstétrique
    • Médecine interne generale
    • Cardiologie
    • Médecine d’enfants et d’adolescents
    • Chirurgie orale et maxillofaciale
    • Ophtalmologie
    • Chirurgie plastique, reconstructive et esthétique
    • Rhumatologie
    • Chirurgie orthopédique
    • Neurochirurgie
  • FR
    • DE
SBV - Schweizerische Belegärzte-Vereinigung
Menu
  • Portrait
    • Champs d’activité
    • Qualité
    • Statuts
    • Le comité
    • Groupes régionaux
    • Devenir membre
  • Politique de santé
    • Libre choix du médecin
  • Exercice de profession
    • Assurances complémentaires
    • Séminaire tarifaire
    • Partenariats
    • Prévoyance
  • Conrat complémentaire
  • Swiss DRG
    • Cliniques
    • Oeuvre de référence tarifaire SwissDRG de l’ASMI actuel
    • Oeuvre de référence tarifaire SwissDRG de l’ASMI – archive
  • Sites de formation continue
    • Chirurgie de la main
    • Chirurgie
    • Gynécologie et obstétrique
    • Médecine interne generale
    • Cardiologie
    • Médecine d’enfants et d’adolescents
    • Chirurgie orale et maxillofaciale
    • Ophtalmologie
    • Chirurgie plastique, reconstructive et esthétique
    • Rhumatologie
    • Chirurgie orthopédique
    • Neurochirurgie
  • FR
    • DE
 › Non classifié(e) › Conséquences du numerus clausus sur la sécurité de la couverture des besoins en soins médicaux

Conséquences du numerus clausus sur la sécurité de la couverture des besoins en soins médicaux

Florian Wanner 23/08/2021     Pas de commentaire    

Avec le postulat 21.3843, les libéraux (PRD) abordent notamment la question de la sécurité des soins médicaux au cours des deux prochaines décennies sous l’angle de la formation. L’examen d’entrée est notamment un sujet, mais aussi des aspects tels que le déséquilibre entre les sexes, l’emploi à temps partiel, l’évolution démographique ainsi que la proportion de personnel qualifié étranger. Le Conseil fédéral est prié d’établir un rapport indiquant quelles sont les bases légales nécessaires pour garantir la prise en charge médicale par des spécialistes formés en Suisse, tant dans les hôpitaux que dans les cabinets ambulatoires. Cela inclut également l’identification des obstacles éventuels et la présentation de recommandations d’action.  

En comparaison internationale, les soins de santé en Suisse mobilisent beaucoup de ressources humaines. La pénurie de spécialistes médicaux est évidente et l’engagement du corps médical est connu pour être supérieur à la moyenne. La pénurie est compensée par des importations massives de médecins et entraîne une dépendance à l’égard des pays étrangers. Le travail à temps partiel s’est développé au cours des dix dernières années et constitue désormais une réalité indépendante du genre. La situation démographique posera à l’avenir des défis majeurs à la politique de santé, d’autant plus que la population croît actuellement de manière constante sans que le nombre de personnel médical qualifié ait été augmenté. Pour garantir les soins médicaux à long terme, il n’est plus possible à l’avenir de s’appuyer sur le principe actuel de la couverture des besoins en personnel – la Suisse doit former autant que possible elle-même suffisamment de personnel médical !

En médecine humaine, les candidats sont sélectionnés sur la base d’un numerus clausus et d’un test d’aptitude introduits il y a plus de 20 ans, car le programme de diplôme est l’un des cursus les plus coûteux. Mais malheureusement, le numerus clausus est l’un des obstacles qui ont un effet sous-optimal sur la sécurité de l’approvisionnement, car le nombre de candidats dépasse largement le nombre de places pour les études de médecine. Le numerus clausus empêche donc la formation d’une partie des candidats dès le départ et, par conséquent, le futur effectif médical est réduit précisément de cette proportion.

En outre, le système du numerus clausus constitue une atteinte à la liberté économique, car il restreint le droit de choisir librement sa profession. Le principe de proportionnalité exige que les mesures soient conforme à la réalité et praticables, sinon il faut envisager une nouvelle réglementation, voire une abolition.

Une étude de l’Université de Berne publiée dans le Swiss Medical Weekly (31.12.2020) se penche sur l’adéquation du processus d’admission aux études de médecine. Selon cette étude, les résultats du test d’aptitude à la formation de base de trois ans en médecine humaine n’apportent aucune valeur prédictive supplémentaire aux notes de la maturité et le processus d’admission devrait donc être reconsidéré en raison de son utilité limitée pour la prédiction. Par exemple, selon les auteurs de l’étude, des critères tels que les capacités de communication, les traits de personnalité et le comportement professionnel devraient également être inclus dans l’évaluation. (Source : medinside.ch-2.3.2021) En ce qui concerne ce dernier critère, il convient toutefois de souligner que les personnes qui passent l’épreuve d’aptitude sont pour la plupart titulaires d’une maturité et n’ont, cas échéant, généralement pas encore une grande expérience professionnelle.

Dans le contexte des controverses entourant la procédure d’admission, compte tenu des faits et de l’évolution actuelles, il est nécessaire d’agir avant tout sur la question de savoir combien de personnel médical –  compte tenu des pertes hypothétiques (à savoir les départs de la profession) ainsi que du taux d’activité généralement en baisse – doit être formé afin d’optimiser durablement le volume de travail actuellement disponible de tous les médecins travaillant en Suisse sans continuer à dépendre de l’importation de spécialistes étrangers. 

Le présent postulat mérite donc d’être soutenu, car il traite de la sécurité des soins médicaux dans un contexte plus large, en tenant compte des domaines problématiques pertinents.

Non classifié(e)

 Article précédent

La digitalisation dans le domaine de la santé : Plus d’obstacles que de solutions ?

― 10/08/2021

Article suivant 

C’est ce dont le Conseil national et le Conseil des États débattront lors de la session d’automne. Les faits les plus importants en bref.

― 16/09/2021

Auteur : Florian Wanner

Sujets en relation

Florian Wanner ― 24/06/2022 | Pas de commentaire

Prise de position concernant l’accès aux spécialistes (Interpellation 22.3599)

L’Association Suisse des Médecins indépendants travaillant en Cliniques privées et Hôpitaux (ASMI) approuve l’interpellation 22.3599 « Importance des médecins spécialistes pour les soins médicaux de base » de Christian Lohr et continue à souligner l’importance d’un accès rapide et simple de la population à tous les spécialistes. Les caisses de maladie offrent déjà la possibilité de choisir entre des modèles d’assurance alternatifs MAA (comme Telmed, le modèle du médecin de famille, HMO) et le libre choix du médecin. Les modèles se distinguent par le montant des primes et ont déjà entraîné un changement volontaire vers le MAA. Il est donc insensé de

Florian Wanner ― 07/06/2022 | Pas de commentaire

Prise de position de l’ASMI sur le rapport de la frc du 1er mai 2022

Florian Wanner ― 09/12/2021 | Pas de commentaire

Le Conseil des Etats prend une décision phare contre le budget global

Florian Wanner ― 14/10/2021 | Pas de commentaire

Le Tribunal fédéral se prononce contre le corps médical indépendant – réaction de l’ASMI

Florian Wanner ― 29/09/2021 | Pas de commentaire

Des conditions de concurrence équitables pour tous les hôpitaux !

Florian Wanner ― 16/09/2021 | Pas de commentaire

C’est ce dont le Conseil national et le Conseil des États débattront lors de la session d’automne. Les faits les plus importants en bref.

Florian Wanner ― 10/08/2021 | Pas de commentaire

La digitalisation dans le domaine de la santé : Plus d’obstacles que de solutions ?

Florian Wanner ― 02/08/2021 | Pas de commentaire

Contrat de livraison de données conclu entre l’OFSP et SASIS
1
Prise de position de l’ASMI sur le rapport de la frc du 1er mai 2022

― 07/06/2022

2
Le Conseil des Etats prend une décision phare contre le budget global

― 09/12/2021

3
Le Tribunal fédéral se prononce contre le corps médical indépendant – réaction de l’ASMI

― 14/10/2021

4
Des conditions de concurrence équitables pour tous les hôpitaux !

― 29/09/2021

5
C’est ce dont le Conseil national et le Conseil des États débattront lors de la session d’automne. Les faits les plus importants en bref.

― 16/09/2021

anciens articles

  • Impressum
  • Devenir membre
© SBV, Schweizerische Belegärzte-Vereinigung, Moosstrasse 2, 3073 Gümligen