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 › Non classifié(e) › Conséquences du numerus clausus sur la sécurité de la couverture des besoins en soins médicaux

Conséquences du numerus clausus sur la sécurité de la couverture des besoins en soins médicaux

Florian Wanner 23/08/2021     Pas de commentaire    

Avec le postulat 21.3843, les libéraux (PRD) abordent notamment la question de la sécurité des soins médicaux au cours des deux prochaines décennies sous l’angle de la formation. L’examen d’entrée est notamment un sujet, mais aussi des aspects tels que le déséquilibre entre les sexes, l’emploi à temps partiel, l’évolution démographique ainsi que la proportion de personnel qualifié étranger. Le Conseil fédéral est prié d’établir un rapport indiquant quelles sont les bases légales nécessaires pour garantir la prise en charge médicale par des spécialistes formés en Suisse, tant dans les hôpitaux que dans les cabinets ambulatoires. Cela inclut également l’identification des obstacles éventuels et la présentation de recommandations d’action.  

En comparaison internationale, les soins de santé en Suisse mobilisent beaucoup de ressources humaines. La pénurie de spécialistes médicaux est évidente et l’engagement du corps médical est connu pour être supérieur à la moyenne. La pénurie est compensée par des importations massives de médecins et entraîne une dépendance à l’égard des pays étrangers. Le travail à temps partiel s’est développé au cours des dix dernières années et constitue désormais une réalité indépendante du genre. La situation démographique posera à l’avenir des défis majeurs à la politique de santé, d’autant plus que la population croît actuellement de manière constante sans que le nombre de personnel médical qualifié ait été augmenté. Pour garantir les soins médicaux à long terme, il n’est plus possible à l’avenir de s’appuyer sur le principe actuel de la couverture des besoins en personnel – la Suisse doit former autant que possible elle-même suffisamment de personnel médical !

En médecine humaine, les candidats sont sélectionnés sur la base d’un numerus clausus et d’un test d’aptitude introduits il y a plus de 20 ans, car le programme de diplôme est l’un des cursus les plus coûteux. Mais malheureusement, le numerus clausus est l’un des obstacles qui ont un effet sous-optimal sur la sécurité de l’approvisionnement, car le nombre de candidats dépasse largement le nombre de places pour les études de médecine. Le numerus clausus empêche donc la formation d’une partie des candidats dès le départ et, par conséquent, le futur effectif médical est réduit précisément de cette proportion.

En outre, le système du numerus clausus constitue une atteinte à la liberté économique, car il restreint le droit de choisir librement sa profession. Le principe de proportionnalité exige que les mesures soient conforme à la réalité et praticables, sinon il faut envisager une nouvelle réglementation, voire une abolition.

Une étude de l’Université de Berne publiée dans le Swiss Medical Weekly (31.12.2020) se penche sur l’adéquation du processus d’admission aux études de médecine. Selon cette étude, les résultats du test d’aptitude à la formation de base de trois ans en médecine humaine n’apportent aucune valeur prédictive supplémentaire aux notes de la maturité et le processus d’admission devrait donc être reconsidéré en raison de son utilité limitée pour la prédiction. Par exemple, selon les auteurs de l’étude, des critères tels que les capacités de communication, les traits de personnalité et le comportement professionnel devraient également être inclus dans l’évaluation. (Source : medinside.ch-2.3.2021) En ce qui concerne ce dernier critère, il convient toutefois de souligner que les personnes qui passent l’épreuve d’aptitude sont pour la plupart titulaires d’une maturité et n’ont, cas échéant, généralement pas encore une grande expérience professionnelle.

Dans le contexte des controverses entourant la procédure d’admission, compte tenu des faits et de l’évolution actuelles, il est nécessaire d’agir avant tout sur la question de savoir combien de personnel médical –  compte tenu des pertes hypothétiques (à savoir les départs de la profession) ainsi que du taux d’activité généralement en baisse – doit être formé afin d’optimiser durablement le volume de travail actuellement disponible de tous les médecins travaillant en Suisse sans continuer à dépendre de l’importation de spécialistes étrangers. 

Le présent postulat mérite donc d’être soutenu, car il traite de la sécurité des soins médicaux dans un contexte plus large, en tenant compte des domaines problématiques pertinents.

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